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Hélène Frédérick |
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« Lorsque l’on doit passer l’essentiel de son temps à redresser la langue pour la remettre dans le droit chemin, à en gommer les fantaisies perçues comme des maladresses, que deviennent la poésie, l’inactuel, l’imagination nécessaires à la création ? »
Composé de portraits, de souvenirs et de notes prises sur le vif, Lézardes se donne à lire comme une enquête poétique sur un métier de l’ombre. L’autrice y explore de façon oblique l’univers si singulier des correcteurs, à la recherche des traces laissées par quelques figures de passeurs autodidactes et libertaires. De chapitre en chapitre, elle tresse l’intime avec le collectif. |
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